> le samedi 9 juin à 16h
Inauguration de l'oeuvre d'Hervé Di Rosa
en présence d'Hervé Di Rosa et le chef étoilé Thierry Marx
Adresse : Cuisine Mode d'Emploi(s)
4 place Henri Barbusse 91350 Grigny
Nous vous y attendons nombreux !
#ArtetCuisine
Quelques photos de la fresque en cours
Olivier Costa , Momo Hajaoui ; fresquistes
et Déborah en formation à Cuisine Mode d'Emploi(s)
Hervé Di
Rosa, artiste peintre
Entre 1979 il commence à vendre ses peintures. A tout juste
vingt ans, il est exposé à Paris, Amsterdam et New York. En 1981, Hervé Di Rosa
cofonde le mouvement de la Figuration libre, ainsi dénommé par l’artiste Ben.
Progressivement, il diversifie ses approches artistiques au
contact d’artisans dans un tour du monde qui le mènera en Tunisie, en Bulgarie,
au Ghana, au Bénin, en Ethiopie, au Vietnam, en Afrique du Sud, en Corse, à
Cuba, au Mexique, aux Etats-Unis, au Cameroun, en Israël. Sans revendiquer un
style particulier, mais en développant un univers narratif bien à lui, peuplé
de personnages récurrents, il a pratiqué toutes les techniques de création:
peinture, sculpture, bande-dessinée, tapisserie, estampe, fresque, laque,
argent repoussé, céramique, dessin animé, images numériques, entre autres. Il
est également l’auteur ou le sujet d’environ 150 livres d’art et publications
entre 1978 et 2014.
Concepteur de l’Art modeste, il fonde en l’an 2000, à Sète,
le Musée international des arts modestes (MIAM), où il expose de nombreux
artistes venus du monde entier et crée des expositions qui questionnent les
frontières de l’art contemporain.
Depuis 1981, son œuvre a fait l’objet de plus de 200 expositions
personnelles et est présente dans d’importantes collections publiques et
privées en Europe, en Amérique et en Asie. Il vit et travaille actuellement à
Lisbonne, Portugal.
« Je n’invente pas l'art
modeste, je l'ai trouvé, je le fais vivre et je le fais dialoguer avec l'art
contemporain. Le centre de cette aventure, c'est l’art contemporain. Parce
qu'en face, il y avait le Centre régional d'art contemporain, de grande
importance, on a longtemps cru que le Miam était un lieu anti-art contemporain.
Pas du tout. Au contraire, j'ai fondé le Miam pour tendre un pont d'une rive à
l'autre, aller vers le néophyte qui peut être attrapé par l'alibi des images du
quotidien qu'il connaît bien et qui l'amènent vers des œuvres plus complexes.
Certains vont vouloir approfondir et aller voir de l'autre côté.»
Dossier de presse ici
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